Attention aux pièges des domiciliations commerciales !
Les agences de domiciliation commerciale se suivent mais ne se ressemblent pas. En effet, à force d’héberger de mauvais payeurs pour ne pas dire des sociétés douteuses, bon nombre d’agences de domiciliation sont « grillées » auprès des banques de leur secteur. Autrement dit, un créateur d’entreprise dont le siège social est domicilié comme tel, aura toutes les peines du monde à ouvrir un compte bancaire pour déposer son capital. Un apport en capital conséquent complété par les règlements des premiers clients ne changera rien à l’affaire, car certains conseillers financiers tiennent à jour une liste noire des adresses bannies et n’hésitent pas à claquer la porte au nez ou à raccrochez à la barbe des entrepreneurs, considérés comme des escrocs potentiels.
Évidemment, les centres de domiciliation comme les Chambres de Commerce se gardent bien d’évoquer ce problème. Deux solutions s’offrent néanmoins au téméraire créateur d’entreprise. Celui-ci peut tout d’abord ouvrir un compte d’entreprise dans sa banque personnelle. Les bonnes relations antérieures entre les deux parties s’avancent comme un pré-requis à cette opération. L’autre solution consiste à s’adresser à La Poste, organisme plus tolérant bien que les réticences vis à vis des « boîtes aux lettres » commerciales commencent également à émerger au sein de cet établissement financier.
Les agences de domiciliation commerciale se suivent mais ne se ressemblent pas. En effet, à force d’héberger de mauvais payeurs pour ne pas dire des sociétés douteuses, bon nombre d’agences de domiciliation sont « grillées » auprès des banques de leur secteur. Autrement dit, un créateur d’entreprise dont le siège social est domicilié comme tel, aura toutes les peines du monde à ouvrir un compte bancaire pour déposer son capital. Un apport en capital conséquent complété par les règlements des premiers clients ne changera rien à l’affaire, car certains conseillers financiers tiennent à jour une liste noire des adresses bannies et n’hésitent pas à claquer la porte au nez ou à raccrochez à la barbe des entrepreneurs, considérés comme des escrocs potentiels.
Évidemment, les centres de domiciliation comme les Chambres de Commerce se gardent bien d’évoquer ce problème. Deux solutions s’offrent néanmoins au téméraire créateur d’entreprise. Celui-ci peut tout d’abord ouvrir un compte d’entreprise dans sa banque personnelle. Les bonnes relations antérieures entre les deux parties s’avancent comme un pré-requis à cette opération. L’autre solution consiste à s’adresser à La Poste, organisme plus tolérant bien que les réticences vis à vis des « boîtes aux lettres » commerciales commencent également à émerger au sein de cet établissement financier.
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